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314 THEO&ÏÊ ff^S PTi^NxyMENEB

r, ajr, fl’o et la valeur de X se réduira à

/)-f)y yd~ /’zd~’–~dz*

X=~~d~(cos, "r" J En désignant par Y et Z les forces suivant les axes des j et des z résultant de l’action des mêmes éléments sur d/, on trouvera par un calcul semblable

T. 1 ""ci s’Y~ rn+u T.n-é-’i)’

et en faisant

f, ~.r~, +j ~r-A, l ~~I ~C il viendra X= H’ d s’ (G cos-n* – B ces. y), ñ ; ̃ ̃̃̃ ’̃ a.’ ̃̃̃ •.̃’̃̃ ̃-̃̃ y=tii’dj’(Acos.v – Ccos.x),

2 ̃̃̃’ ̃•̃•• !.•̃•̃̃.̃".̃•̃"̃̃̃̃•̃.̃̃.

~Z===~d~(Bcos.~–’A-c~ !8. En méltipliânt te Çrënïiè^ A -ce* équations > pair ; A vla seconde par B et la troisième ^parC., -en lEonve=Â>X*^¥ C Z = o et si l’on conçoit par l’origine une droite A’ E qui fasse avec lés axesdes angles :4ontîes eosmus-soiei^espectwement– À B. C, .–

| – CGS.i, |cOS.yll, D==COS.

enj’supiîos«rit, ^pour, abréger ; r