Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/399

Cette page n’a pas encore été corrigée

JÉLECTRO-’DYSAMIQOÉS. 211«^, ™, i»»’, <ao* -ni 11 s ;- (*i ?tinrl rtn^ti :.Le terme de ñ ?7’-

où nous supposons que r’ est plus grand que *.< Le terme de cette intégralequi résulte de l’action de là partie TH Ier convexe tersUV l’emportera sur celui qui est produit par faction de la partie concave TH"F si k est négatif le contraire aura lieu si è est positif, et il n ?y aura pas d’action si k est ul Les mêmes conséquences : wymî lieu pour tous les éléments de ’U V, il s’ensuit «que là partie convexe ^ers U V aura plus —d’influence sur le motiveinent d*a circuit que la partie concave, si *< o, autant si k=o, et moins si 'k >o. Or l’expérience prouve qu’elle en a davantage. On a donc 7c < o et par suite n > if puisque n=i –a h `-On

déduit deià cette conséquence remarquable quelespartiesdunmême < ; ourastpectiligneseT-epoUssent-car si 1">on fait fl=o56’==«, la formule qui donne l’atïractioii de deux éléments devient lf±±L et comme elle est négative puisque

; k Uest, il y a répulsion. C’est ce que j’ai yérifié par l’expérience

que je vais décrire, On prend un vase de verre P Q %• 8) sé-^ paré ; p^kHîl^en.^ux-oofep^tin^nts-egaux-et remplis de mercure, on y place un fil de cuivre recouvert de soie ABCiBE dont les frrantnes AB, ED, situées parallèlement a la cloison MN, flottent.sur le mercure avec lequel communiquent les extrémités nuès A et E de ces branches. En mettant. les rhéopnpresdansiles capsules S etX, dont le mercure communique avec celui du vase PQ par ksportionsde conducteur h H £Kron établit deux courants, dont chacun a pour conducteur une partie de mercure et une, partie solide quelle que soit la direction du courant, on voit toujours les deux, fiiâ ;4Et£A raareher paraUèlement à èa cloison M en s’éloignant des peints H et K, ce qui indique une répul-