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204 THÉORIE DES PHÉNOMÈNES

vant la même droite AA’ a pour valeur :

il’ £dsd.s’cos.6cos.8’

y ̃̃’̃ ’•

et par conséquent l’action des deux éléments ds, as’ l’un sur l’autre est nécessairement exprimée par ’̃•̃

ii’ àsàs’ 7, s

— – – (sm.ôsm.e côs.w+«.cos.ôçoSi.&-)>

On simplifie cette formulqpen y introduisant l’angle e des deux éléments au lieu de « ; f| ; ar en considérant le triangle spjhérique dont les côtés seraient 6 6’ s, on a

cos.s=cos.6cos.ô’ +sin.9sin.6’côs. o>

ou

sin.ôsin.ô’cos. co = cos. e-cos. ôcos.ô^j

substituant dans la formule précédente et faisant k– i=h, elle devient

ii’asd/ ̃ -̃ ̃ ̃

— – – -(COS.Je + A COS. 9 COS. &)T • ñ ̃ ’.•̃ "̃ ̃ -t ’.̃̃ ̃’̃̃̃’̃ et il est bon de remarquer qu’elle change de signe quand un seul des courants, par exemple < ; elui de l’élément d, ?, prend une direction diàièétralement opposée à celle qu’il aYaitj car alors cos. 6 4t çps. s changent de signe et cos. 0’ reste le même. Cette valetijr dé -l’actiôn mutuelle de deux éléments n’a été déduite ^ie de la substitution des projections d’un’élérïienflji cetréïém : ent même ; mais il est facile de s’assurer qu’elle exprime qu’on peut substituer à un élémenjt un contour polygonal quelçowquTe, et par suite un arc