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MA’ m et pa’r sa projection U’ u’=ds’ sin. 9’ sin. À sur la perpendiculaire à ce plan menée par le ppint A’ ; d’après la loi établie ci -dessus l’action des deux éléments, d-s et ds’ sera la même què celle ’de l’assemblage des deux portions de courants d^eos. ;9 etd^sin. 9 sur celui destrois portions d/ cos. 6’, ds’ sin. 9’ cos. w, d/siîi.6’ sin. « ; cette dernière ayant son milieu dans le plan MAm auquel elle est perpendiculaire, il n’y aura aucune actionentre elle et les deux portions d< ?cos.9, ds sin. 9 qui sont dans ce plan. Il ne pourra non plus, par la même raison y en avoir aucune entre les portion’sd^ cos. 9 d/ sin. 9’ cos. m, ni entre les portions d^siri. 9, d/ Cos. 9’, puisqu’en concevant par la droite A À’ un, plan perpendicufaire au plan MA’ ?? ?, d« ?cos.9 et d/cos.9r se trouvent dans ce plan, et que les portions ds’ sin. 9’ cos. w et ds sin. e lui sont perpendiculaires et ont leurs milieux dans ce même plan. L’action des deux éléments d, s et d s’ se réduit donc à la réunion des deux actions restantes, sa^voir l’action mutuelie de d.s sin. 9 et de dy sin. 9’ cos. tu et à celle de ds cos. 9 et de d/ cos. 9’, ces deux actions étant toutes deux dirigées suivant la droite À A’ qui joint les milieux des portions de courants entre lesquelles elles s’exercent, il suffit de les ajouter pour avoir l’action mutuelle des deux éléments d et d/. Or les portions ds sin. 9 et dysin.9’ cos.w sont dans un même plan., et toutes d«ux perpendiculaires à la droite À A’ ; leur action mutuelle suivant cette droite est donc, d’après ce que nous devoir, égale à. -̃̃
et celle des deux popticms â$ cas. ô«td#èos.f dirigée sui- r