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plante de Retz, que j’ai reçue d’Islande, et que je dois à mon ami Hofman Bang, qui m’a procuré aussi les plantes de Norwège, de Laponie, du Groënland, dont l’étude était indispensable à l’exacte détermination des miennes.
94. Gnaphalium supinum. Willd. sp. 3. pars 3, p. 1888. – Smith, brit. 2, p. 871.- Dec. fl. fr. 4, p. 133. - Fl. dan. 2, t. 332.
Sommet supérieur, 26 août 1795. Sommet inférieur, 30 août 1809.
Je rapporte, avec Smith, à cette espèce, la figure de la Flore danoise qui ne convient nullement au Gn. alpinum ; et je pense, avec Decandolle, qu’il est difficile d’en séparer le Gn. pusillum de Hencke, et le fuscum de Scopoli. On trouverait aisément les trois espèces dans mes échantillons, où les tiges sont plus ou moins couchées, les fleurs plus ou moins brunes, plus ou moins sessiles ou pédonculées, selon le lieu où je les ai pris, et les circonstances qui ont secondé ou restreint le développement de la plante.
95. Erigeron alpinum. Willd.sp.3, pars 3, p. 1959. - Smith. brit. 2, p. 877. – Dec. fl. fr. 4, p. 142. Var.
Sommet supérieur, 7 octobre 1809, 30 août 1805. Entre les deux sommets., 11 et 22 septembre 1810.
Calice cylindrique, plus ou moins velu. Demi-fleurons moins nombreux que les fleurons du centre. Individus très-petits au sommet du Pic, plus développés sur ses pentes. J’ai trouvé cette espèce rameuse et pluriflore au pic d’Ereslids : c’est la variété a de Decandolle.
96. Erigeron uniflorum. Lin. Willd. sp. 3, pars 3, p. 1959. – Fl. lapp. t. 9, f. 3. (Aster).
E. alpinum. – Dec. fl. fr. 4, p. 142.
E. alpinum. – Dec. fl. fr. 4, p. 142.
Sommet supérieur, 28 juillet 1797, 26 août 1795, 14 septembre 1792, 16 septembre 1793. Encore quelques fleurs le 22 sept. 1810.
Ce n’est certainement point une variété du précédent. Toujours
