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AU SOMMET DU PIC DU MID 11. 147 n tw : m n ~7, n~–-–t.]

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dans le P officinedis et le P. clatior ; elles ne paraissent donc pas fournir un caractère suffisant pour, distinguer spécifiquement le P. viscosaàu.P.hirsuta, ete PrimulabrevistylaàuP.grandiflora, PÉDÏCULAIRES, J.RTÎINANTHACÉES. Vent. Dec.

80. Vérontga saxatilis. fFîlld. sp. 1, p. 62. «. – Smith.’

brit. 1 p. 17. Dec.fl.fr. 3, p. 469. Flor. dan. 2,

t. 342. – Clus. Awf. i y p. 347, fig. 1.

Sommet supérieur 16 septembre 1793..

Commune sur tout le Pic. Les feuilles sont en général entières mais quelquefois un peu crénelées. Du reste, mes échantillons du sommet sont fort semblables à ceux qui me viennent du Danemark.

8r. Veronica ndmmularia. Geuan. III. p. 1 tab. 1 fig, 2. – Dec. ~7-. 3, p :470 Sommet supérieur, 28 juillet 1797,21 juillet 1798», 22 juillet

Ï799) 8, août 1809.

Espèce assurément bien distincte de la précédente ; Feuilles arrondies crénelées ciliées. Fleurs bleues dont le segment supérieur est redresse et plié longitudinalenxént.en- gouttière la convexité regardant l’intérieur de la fleur.

82. Pedtcularis ROSTR4TA. W^illd. sp. 3, p. ai6. – Dec.fl. fr. 3, p. 48i. a. – Hall. helv. 1 no3a2, tab. 8, f. i Haud bona.

Entre les deux sommets, 1.1 août 1799.

La figure de Haller est trèsrdéfectueuse. Elle représente la racine sous la forme d’une ’tubeTOsité ce qui est en pleine contradic-tion avec ’la description même de l !auteur (Ratfices Jlavœ Ion-’ « gissimœ, tereted). Cette racine, en effet^ se compose de fibres épaisses charnues, longues, quelquefois ram, eu^es, Tp]us souvent t fascieulées. Ce caractère" seul suffiEait ipour distinguer notre espèce du P. gyrojiexa, qui croît également sur les pentes du Pic,