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44. Cetraria islandica. Ach. lich. un. p. 512, no 8. Bro\nu. melv. no 106. – Physcia islandica. – Dec. fl. fr. 2, p. 399.
Sommet inférieur, à terre, 28 juillet 1797.
On n’y trouve que les variétés les plus menues, toujours dépourvues de scutelles. Dans cet état, il ressemble tout-à-fait au Cornicularia spadicea, mais s’en distingue toujours par ses expansions canaliculées.
45. Peltidea horizontalis. Ach. lich. un. p.515, no 3.
Peltigera horizontalis. – Dec. fl. fr. 2, p. 406.
À terre, sans fructification, 1805.
46. Cenomyce pyxidata. Ach. lich. un. p. 534, no 12. – Brown, melv. no 112.
Scyphophorus pyxidatus. v. – Dec. fl. fr. 2, p. 339.
Sommet supérieur.
47. Cenomyce coccifera. Ach. lich. un. p. 537, no 13.
Scyphophorus cocciferus. a. – Dec. fl. fr. 2, p. 339.
Sommet supérieur.
Quelques brins mêlés à des mousses et d’autres lichens terrestres.
48. Cenomyce uncialis. Ach. lich. un. p. 558, no 25.
Cladonia ceranoïdes. – Dec. fl. fr. 2, p. 337.
À terre, assez commun.
49. Cenomyce vermicularis. 3. Ach. lich. un. p. 566, no 31.
Cladonia vermicularis. – Dec. fl. fr. 2, p. 335.
Sommet inférieur, avec le L. nivalis, juniperinus, islandicus.
Tiges épaisses, renflées dans leur milieu, et un peu rameuses : caractères distinctifs de cette variété que j’ai rencontrée aussi autour du lac du Mont-Perdu. L’autre variété est commune dans