Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/166

Cette page n’a pas encore été corrigée

èlvîij HISTOIRE DE i/ÀCADÉMIE,

hèxmë f4Û ftcwô%é^ kfe»mieîitatïdn vineuse, la instillation I* fetfiti&ë M $méb et l’extraction dé son iti dtgà et totft ce qui ’ëctûeèïtàé M ciiltiifë de la betterave >ët l’extraction de son àWèï-e^ èmëpéèMemmt attiré son attention. Il n’a pas ttiêtùe ïi^glïgéîtes iâêijrteM #ks^ajttiï>^ à pé^i de #âis -les dertiëttfes ëi lés >èteiîie¥rts dès ftafeitànts des câfliipa^iies ; M: fë’toï^Môrel tlè Vifed^ <jiii kiiïltivë pàf lUi^nêine là ~Gèl-lè, p-é’s=de St -Œbtïd, une gï-and~ propriété/et s’Ôècsans relâche de l’améliorer, moins encore en vue des produits qu’il en retire que pour donner des exemples utiles aux agriculteurs, vient dé publier tuté ’notice sommaire sur les assolements qu’il y a établis. Sa terre est divisée en huit sWïés^ônr<ehâ£ûne a^uatrë^rin^çs^é ï*ôtatiônt Le tàbfeau complet des Érëntê-Hdëuk Années dé rotatïbn, donné par l’àutëiir, môriti*è que chaque sole reçoit avec régularité des culttirës ! è’t dëg ^filéiiîifatiohs pareilles ; et qu’elles reviennent toutes àpreà ce terme eMctément «u pô^ ht de départ. Gé plàii s’exécute depuis douze ans, et ses produits sont déjà sf Considérables^ et la terre tellement amélferéè, que le propriétaire est obligé de détourner à d’autres cultures telles que potagers et chenevières, la surabondance de ses engrais. Il faut voir daîls l’ouvragé 5Éêmè les différents problèmes dont lès partiéularités dfe cette terre exigeaient la solution^ et Jes moyens ingénieux ; par lesquels l’àùleur est parvenu è les résoudre avec le plus d’à vàatage.

II Mt rteniaï’ftî«r que soft exploitation est tellement applique^ ^û téWps îét ârtix Moyens dont il dispose ij queues bôihiiiés et s^sichèvaux ne sont jamais ni Oisifs ni forcés de travail et guë le temps du ’Ménage dés fumiers ëXcëpte