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PARTIE PHYSIQUE. <H£XXV

d’être encore assez favorables aux qoncl usions déduites des a.ua-es. exp.ériènces d~ l’uteur.

autrès-expériences de l’auteur.

AN ;ATOMi.Ë COMPARÉE.

Nous avons parlé assez au long dans Hotpe analyse de 182,0, du grand ouvrage de M. Serre, couronné ieiï ï8a’f sur les proportions* des diverses parties ; du cerveau daws les quatre «lasses d’animaux vertébrés ; ouvrage qui doit bientêt paraître, et qui. sera une acquisition très -précieuse ipouf l’Anat©niie. ̃̃̃/̃ ̃ ̃ ? ;̃.̃̃ ;

fieux jeunes anatomistës MM Besmouliias : et <Bailèy ; y :-se sont occupés dans L’intervalle, de rechçrekes *.up la même raaîière qui onj offert des faits intéressants et des ; vues jobuvelles, principalement &n m qui concerne Uepacephaie des poissons. ̃̃. ̃ ̃̃.• ̃ :̃.̃ : n’r, -, x On sait que les labes ou tubercules qui Je coinposfJit, au lieu d’être tes- uns çàv les autres ou de s’envelopper plus ou moins, comme dans-|ï ?homme et les quadrupèdes sont placés à la file et par paires. La paireî ordinairement la plus considérable, celle qui est immédiatement de^aiïïiJle ^ërvelet, est creusée à l’intérieur dhinveBtrièule",5 où l’oiif oit un renflement semblable au corps ean»eléidel’Hàmriie palans son fond sont presque toujours ^quatre îpetits ^ubereuMd ; fet en-dessotis ïï y en a deu^ipl m grands, visibles-à l’extérieur. En avant de cette paire principale, en est une autre ^sans aucun vide intérieur de laquelle pârfeenit les nërfe ollkclifs et quelquefois ellee ; s|(iouble. ; r “ 0 r g E~l.ta.it l, ’ "l’ ; "I, J" A 1 d’ k’ s ç|i ëtaât assez natœrel x^ap f o : n : cô®sidéfâtïles gra^id&tuJaetcules creux comme "iîë ̃ -̃cwvèaaa.’ < le petits de ïeqr iatériepr