qu’il ne vienne point de lumière sensible de l’autre côté, quoique cette lumière infléchie résulte du concours d’une infinité d’ondes élémentaires, comme celles qui donnent naissance aux franges extérieures ; c’est ce que l’on reconnaît à l’inspection du tableau ci-dessous, qui représente l’intensité de la lumière répandue dans l’ombre pour différentes inclinaisons des rayons infléchis. Ces intensités ont été calculées au moyen de la table des valeurs numériques des intégrales
en faisant la somme des carrés des nombres correspondans diminués de Malgré les inexactitudes qui proviennent de ce que les limites des intégrations partielles n’avaient pas été assez rapprochées dans la première table, on voit que l’intensité de la lumière s’affaiblit rapidement à mesure que v augmente, sans qu’il se présente aucun de ces maxima ou minima que nous avons observés à l’extérieur de l’ombre.
|