(20) La quantité
étant donc supposée constante, l’équation que nous venons de trouver, se réduira à
![{\displaystyle (f)}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/f8bea8bbec80317513538b12e2ec1ad420b9e1bb)
De plus, par des différenciations relatives à
on déduit des équations (c) celles-ci
![{\displaystyle {\frac {d\alpha }{dy}}={\frac {d\beta }{dx}},\quad {\frac {d\alpha }{dz}}={\frac {d\gamma }{dx}},\quad {\frac {d\beta }{dz}}={\frac {d\gamma }{dy}}\,;}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/9d00e009c6bcbc6c57c6fdf360f700fab1f9533d)
ce qui nous montre que
seront les trois différences partielles d’une même fonction de
de sorte qu’en appelant
cette fonction inconnue, on aura
![{\displaystyle (g)}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/9ee6094292a0b3f01114b7ce529fbee5f45e6124)
et l’équation (e) deviendra
![{\displaystyle (h)}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/825fcd875712571f7d5a84b774cb1741e6cf2a2d)
Ces dernières formules établiraient des rapports singuliers entre la distribution des deux fluides magnétiques dans un corps aimanté par influence, et le mouvement des fluides incompressibles mais nous ne nous arrêterons point à développer cette analogie qui ne serait d’aucune utilité pour la solution du problème dont nous nous occupons, et qui pourrait induire en erreur sur la nature du magnétisme.
Les trois équations
de l’équilibre magnétique se réduiront à cette seule équation :
![{\displaystyle (i)}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/2114fa9ad4fe17a7e5e3a23ff1f2852d3fbfd115)
dont elles seront les différences partielles relatives à
la constante arbitraire que cette équation devrait renfermer, sera comprise dans la valeur de l’inconnue ![{\displaystyle \phi .}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/e3b065a61a08fe84742ade270b4dbd8c087510e6)
La quantité
contenue dans la valeur,de
s’évanouira en-vertu de l’équation
et cette valeur deviendra