(19) Ce sont ces valeurs qu’il faudra substituer dans les équations (15) de l’équilibre magnétique ; ce qui les changera en celles-ci :
![{\displaystyle \left.{\begin{alignedat}{4}&{\frac {dV}{dx}}&&+{\frac {dQ}{dx}}&&+{\frac {4\pi \alpha (1-k)}{3}}&&=0,\\&{\frac {dV}{dy}}&&+{\frac {dQ}{dy}}&&+{\frac {4\pi \beta (1-k)}{3}}&&=0,\\&{\frac {dV}{dz}}&&+{\frac {dQ}{dz}}&&+{\frac {4\pi \gamma (1-k)}{3}}&&=0.\end{alignedat}}\right\}\quad }](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/822d7132716efc5904d882ce3711f9ffbe8dd936)
(c)
On sait que, par la nature de la fonction
ona
(d)
On a aussi identiquement
![{\displaystyle {\frac {d^{2}{\cfrac {1}{\rho }}}{dx^{2}}}+{\frac {d^{2}{\cfrac {1}{\rho }}}{dy^{2}}}+{\frac {d^{2}{\cfrac {1}{\rho }}}{dz^{2}}}=0\,;}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/01d1eb1e15f9d967a2f583c7f2025a6c0cf4f6b6)
et si l’on fait subir à cette quantité nulle, des intégrations relatives aux variables
qui sont contenues dans
les intégrales seront encore égales à zéro, pourvu qu’entre leurs limites les variables
ne passent pas par les valeurs particulières
car j’ai déjà eu l’occasion de faire remarquer[1] que ces intégrales ne sont pas nulles, lorsque la quantité devient infiniment petite entre les limites dans lesquelles on a intégré. Observons d’ailleurs que, les limites des deux intégrales que renferme le second membre de l’équation (b), étant indépendantes de la position du point
si on les différencie par rapport aux coordonnées
on pourra faire passer les signes de différenciations sous les signes
on aura donc
- ↑ Bulletin de la Société philomathique, décembre 1813.