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Il est aisé, au surplus, d’expliquer cette identité, en considérant que le gaz hydrogène carboné et l’air atmosphérique mis à l’épreuve étaient comprimés par le même poids à la même température et par conséquent doués du même degré d’élasticité ; et que ces fluides aériformes s’écoulaient par la même conduite.

Recherchons maintenant le même coefficient, en le déduisant de nos observations sur l’écoulement des mêmes fluides par la conduite de canons de fusil ajustés bout à bout.

tableau n.o 10.
Expériences faites sur l’Air atmosphérique, le 31 mai 1819.
tableau n.o 11.
Expériences faites sur l’Air atmosphérique, le 7 juin 1819.