sortir sous le même angle suivant une direction opposée à celle de mais il se divise en deux parties et dont l’une s’éloigne du corps et dont l’autre est réfléchie vers l’intérieur de la masse.
On voit par-là que le point envoie selon la direction de les deux rayons et et qu’il envoie aussi selon la direction de les deux rayons et Ce même point reçoit dans l’intérieur du solide selon la direction les deux rayons et enfin il reçoit selon la direction les deux rayons et Comme les quantités sont égales par l’hypothèse, il s’ensuit que d’élément reçoit sous l’angle un rayon égal à et qu’il envoie aussi sous cet angle un même rayon c’est ce qui aurait lieu si la surface était entièrement privée de la propriété de réfléchir les rayons. Donc l’existence de cette propriété, et son plus ou moins d’intensité, n’apportent aucun changement dans l’équilibre de la chaleur.
Il n’en serait pas de même si la fraction qui convient aux rayons incidens et n’était point la même que celle qui convient aux rayons projetés et Il arriverait alors que la quantité de chaleur admise différerait de la quantité de chaleur émise, et la température du corps ne serait point constante. Supposons, par exemple, que le corps parvenu à la température commune de l’espace, soit tout-à-coup remplacé par un corps .de même forme, de même substance et de même température que le premier, mais qui en diffère par l’état de la surface. Ce corps ne pourrait point conserver la température si le changement de la surface qui augmente ou diminue la facilité de réfléchir les rayons, ne modifiait pas également la facilité de les émettre dans l’espace : or il est entièrement contraire aux faits de supposer que le corps prenne une température différente de donc il n’y a