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passant par le point qui sont dans le plan des resteront indéterminés ; ce qui doit être, puisqu’ils sont compris, sur ce plan, dans la courbe dont l’équation

est essentiellement du troisième degré, et ne peut, en conséquence, être donnée par l’intersection du plan des avec des surfaces sphériques.

Je ferai remarquer, au sujet de cette dernière équation, qu’on peut l’écrire ainsi,

et qu’on voit alors, qu’elle est satisfaite en faisait et et infinis. Elle a donc pour asymptote la droite représentée par cette dernière équation qui est précisément celle qui passe par le point et par le centre d’inertie du corps, ce qui était aisé à prévoir d’après ce que nous avons dit plus haut de cette droite.

Si l’on égale, au contraire, à zéro les premiers facteurs des mêmes-équations, il faudra, pour que les équations des surfaces sphériques qui en résultent aient lieu qu’on n’ait pas elles ne détermineront donc des centres de rotation par leur intersection avec la surface conique, qu’autant qu’on les combinera, avec l’autre facteur de l’équation, de cette surface, équation qui représente le plan directeur dont le centre de convergence est au point et en effet, ces deux surfaces sphériques coupent ce plan dans la même circonférence que la surface exprimée par l’équation

puisque leurs équations ne diffèrent de cette dernière que parce que la quantité y est remplacée par une de