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velles qu’il serait comme impossible d’obtenir par une autre voie.

Je reviendrai ailleurs sur ce rapprochement curieux de l’algèbre et de la théorie des nombres ; et je ferai voir que les principes généraux de l’analyse mathématique ont leur source naturelle dans la simple considération de l’ordre, ou de la disposition mutuelle qu’on peut observer actuellement entre plusieurs objets : ce qui me paraît le plus haut point d’abstraction et de généralité où il soit permis de porter la science.