sances le radical me, afin de ne rien changer ; il est encore évident que le nombre pourra être mis sous la forme :
qui est toute semblable à la formule générale des racines nse de l’unité. (Voyez la note XIV de la Résolution des équat. numér. de Lagrange.)
Il est clair que vous auriez de même les identités
etc. etc.
c’est-à-dire, en général :
en donnant aux radicaux etc., les valeurs simultanées
désignant un quelconque des nombres entiers, depuis jusqu’à
6. Actuellement, dans ces fonctions etc., qui