etc., comme M. Gauss en a eu l’heureuse idée pour les racines imaginaires de l’équation binome mais nous voyons ici que cet ordre remarquable, qui semblait dù au hasard, aurait pu être tire directement de l’analyse du problème.
5. Cela posé, considérez, suivant la méthode de M. Lagrange, les fonctions linéaires,
etc. etc.
où etc. sont les racines de l’équation binome il est clair que vous aurez, en ajoutant ces fonctions,
etc.,
et que, par conséquent, le nombre entier pourra être mis sous la forme :
ou bien encore, si vous faites les puissances me des fonctions etc., ce qui donnera
et puis, d’un autre côté, que vous remettiez sur ces puis-