M. Halma, à qui nous devons la seule traduction, et presque la seule édition lisible de l’astronomie de Ptolémée, a cru devoir joindre à cette édition tout ce qui nous reste en grée des opuscules de ce célèbre astronome, tous ses commentateurs et même les auteurs élémentaires dont la lecture était autrefois indispensable à celui qui voulait entendre la syntaxe mathématique, puisque ce grand traité supposait des connaissances déjà exposées dans des ouvrages plus anciens.
Le discours préliminaire où l’éditeur rend compte du plan qu’il a suivi dans ce quatrième volume, n’est pas la partie la moins intéressante de la nouvelle livraison. Il y juge avec impartialité les auteurs qu’il va reproduire, et dont il indique les défauts aussi-bien que les qualités.
Le premier des ouvrages qui paraissent ici pour la pre-