Le succès bien constaté de cet ouvrage nous dispense d’en reproduire ici l’analyse. Nous nous bornerons à dire qu’à la suite des deux grandes divisions annoncées dans le titre, on trouve le calcul direct et inverse des différences, l’application du calcul intégral à la théorie des suites, et enfin deux notes intéressantes, l’une sur la methode des limites, et l’antre sur les logarithmes imaginaires.
Les conclusions sont d’accorder au zèle de l’auteur les loges que méritent tous ceux dont les travaux se dirigent particulièrement sur les moyens de propager la science et de faire participer aux avantages qu’elle procure, un plus grand nombre de citoyens. 10 janvier 1820.
L’Académie, en donnant des éloges au mérite de ses conceptions et au talent dont il a fait preuve, invite M. Barbier