et les rapports qu’elle indique avec précision entre ces coefficients ; ce qui simplifiera le calcul et donnera plus de précision aux résultats.
Nous omettons les objections faites de part et d’autre et que les auteurs se sont franchement et réciproquement communiquées. Voyez la connaissance des temps de 1823 et le Mémoire intitulé : Observations sur l’écrit de M. de La Place, lu en 1820 au bureau des longitudes ; et pour l’analyse des problèmes nous nous bornerons à citer les mémoires de M. de la Place :
Sur les inégalités lunaires dues à l’aplatissement de la terre.
Sur l’inégalité lunaire à longue période, dépendante de la différence des deux hémisphères terrestres.
Éclaircissements sur les Mémoires précédents, etc. Conn. des temps, 1823.
Nouvelles méthodes pour la determination de l’orbite des comètes. Second supplément, par M. Le Gendre.
En exposant dans notre traité d’astronomie les diverses méthodes imaginées par les astronomes et par les géomètres, nous avons rendu ce témoignage à celle de M. Le Gendre, qu’elle est l’une des plus simples qui existent, si même elle n’est pas la plus courte que l’on connaisse. Mais toute méthode a ses inconvénients, comme ses avantages. L’auteur a senti lui-même ce que la sienne laissait à désirer. Pour la seconde fois il vient de travailler à la rendre plus parfaite
