pourvu que les puissances de soient, comme précédemment (no 4), des signes d’opérations qui marquent des différentielles relatives à divisées respectivement par
Cette dernière expression de est la même chose que
étant la base des logarithmes népériens. Or, d’après une formule connue, on a
les intégrales étant prises depuis jusqu’à on aura donc
et comme, en vertu des analogies dont nous faisons usage, on a généralement
il en résulte qu’en prenant nous aurons, pour l’intégrale complète de l’équation (7) sous forme finie,