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Dans les quadratures,

dans les quadratures des équinoxes

ce qui donne

Les observations réduites en temps moyen, donnent

La différence 0^\\sinmathrm{j}{,}005838 est dans les limites des erreurs des observations et des suppositions du calcul ; ce que l’on verra si l’on considère que, par le no 12, le poids de ou le coëfficient du quarré de ses erreurs possibles, pris négativement dans l’exponentielle qui représente leur probabilité, est très-petit.

Dans les quadratures des solstices,

ce qui donne

Les observations réduites au tempɛ moyen donnent

La différence est dans les limites des erreurs des observations.

XV. Considérons maintenant les variations des intervalles des marées, dues aux variations de la parallaxe lunaire. Pour cela, j’ai pris les heures des basses mers du matin et des hantes mers du soir, des jours des syzigies pé-