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est ici égal à seize. En supposant que exprime un nombre de minutes décimales ou de millièmes du jour, j’ai trouvé que l’exponentielle précédente devient

En considérant de la même manière les retards observés dans les syzigies des solstices, j’ai trouvé la probabilité d’une erreur du retard moyen proportionnelle à

de-là j’ai conclu, par la méthode du no 3, la probabilité que la valeur de surpassera de la différence des deux retards et égale à la fraction d’où il suit que l’influence des déclinaisons est indiquée par cette différence, avec une probabilité de contre l’unité.

Cette probabilité, déja fort grande, le devient beaucoup plus par la comparaison des observations des marées des quadratures. En faisant sur les retards de ces marées dans les équinoxes, le même calcul que je viens de présenter sur les retards des marées des syzigies, j’ai trouvé la probabilité d’une erreur de de minutes dans le retard moyen, proportionnelle à

et, relativement aux marées quadratures des solstices, j’ai trouvé la probabilité d’une erreur de de minutes, proportionnelle à