même supposer, sans erreur sensible, vu la petitesse de
de plus
En ajoutant donc les équations et on aura
ce qui donne
et par conséquent
On voit, par les équations et qu’une valeur positive de peu différente de est à-la-fois indiquée par les observations des marées syzigies et des marées quadratures.
On aura d’une manière approchée la probabilité de l’existence d’une valeur positive de en observant que si elle n’existait pas, l’erreur de la différence des valeurs de relatives aux syzigies des équinoxes et des solstices, serait ou au-dessus ; et par le no 3, sa probabilité est L’erreur de la différence des valeurs de relatives aux quadratures des solstices et des équinoxes, serait ou au-dessus ; et par le no 5, sa probabilité est