qui sollicite l’atome sur les axes coordonnés. Ces projections devront s’évanouir, avec la force dont il s’agit, s’il y a équilibre ; en d’autres termes, les conditions d’équilibre de l’atome seront
(1)
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Pareillement, si l’on nomme les projections algébriques de la force accélératrice qui sollicite au premier instant, non plus l’atome mais l’atonie les équations d’équilibre de ce dernier atome seront
(2)
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Considérons en particulier le cas où la force accélératrice appliquée à l’atome ou qui est censé coïncider avec le point résulte uniquement d’actions exercées sur cet atome par tous les autres. Supposons d’ailleurs que l’action mutuelle de deux atomes soit proportionnelle à leurs masses et à une certaine fonction de leur distance. Enfin, nommons
les masses de deux atomes distincts de
et appartenant, l’un au premier système de molécules, l’autre au second ;
les distances qui séparent, au premier instant, l’atome
des atomes
et
les actions exercées sur l’atome
par les atomes
et
chacune des fonctions
étant positive ou négative, suivant que l’atome
est attiré ou repoussé ;
les projections algébriques de la distance
sur les axes coordonnés ;