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puis on en conclura

(3)
(4)

En vertu de la seconde des formules (3), l’angle polaire

pourra être un terme quelconque de la progression arithmétique dont la raison serait l’un des termes étant Il en résulte qu'une même quantité géométrique offrira racines du degré toutes comprises dans la formule

(5)

et représentées par des rayons vecteurs égaux, menés du pôle à points qui diviseront une même circonférence en parties égales. Ajoutons que, l’expression (5) reprenant exactement la même valeur, lorsqu'on fait croître ou décroître le rapport d’une ou de plusieurs unités, par conséquent, lorsqu'on fait croître ou décroître de ou d’un multiple de il suffira, pour obtenir les diverses valeurs de cette expression, de prendre successivement pour les divers termes de la suite :

(6)

Si se réduit à zéro, et à l’unité, on aura simplement

Alors les diverses valeurs de l’expression (5), réduites à la