pourra faire et le point le plus voisin de la jonction des deux fluides, sera un ventre correspondant à la distance Si, au contraire, on a ce point sera un noeud de vibrations, qui répondra à la distance
Les noeuds de vibrations, dans le cas du tube fermé, seront déterminés par l’équation
et les ventres par celles-ci :
Leurs racines réelles se déduiront toutes de la formule :
désignant la plus petite racine positive de la première, et étant un nombre entier, pair pour cette première équation et impair pour la seconde. On en déduira des conséquences semblables à celles que nous venons d’énoncer pour le cas du tube ouvert.
Après avoir déterminé par l’expérience, comme nous l’avons indiqué précédemment (no 38), les valeurs des constantes et relatives à deux fluides donnés, il serait à desirer que l’on vérifiât, aussi par l’observation, ces lois de distribution des ven tres et des nœuds dans les deux fluides, correspondantes à différentes valeurs de lesquelles peuvent toujours se conclure des tons observés. Cette vérification présenterait plus de difficulté que dans le cas d’un seul fluide ; elle ne serait cependant point impraticable ; et, par la variété qu’on