lumières se propageant dans le même milieu, leurs intensités seront mesurées par les quarrés des vîtesses
et
qui leur correspondent ; par conséquent, on aura
![{\displaystyle \mathrm {I} _{_{\scriptscriptstyle {I}}}=\left({\frac {1-c}{1+c}}\right)^{2}\mathrm {I} ,\qquad \mathrm {I} _{_{\scriptscriptstyle {II}}}={\frac {16c^{2}(1-c')^{2}}{(1+c)^{4}(1+c')^{2}}}I.}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/a910e05bc748f81ab4e5408c2149775d2fb2ecf3)
En supposant que l’air soit le milieu en contact avec la seconde surface du verre, et faisant
la valeur de
devient
![{\displaystyle \mathrm {I} _{_{\scriptscriptstyle {II}}}={\frac {16c^{2}(1-c)^{2}}{(1+c)^{6}}}\mathrm {I} \,;}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/4f8408d849dc9ec8faa27ec520a5d4f71834e8d9)
d’où l’on conclut
![{\displaystyle \mathrm {I} _{_{\scriptscriptstyle {II}}}={\frac {16c^{2}}{(1+c)^{4}}}\mathrm {I} _{_{\scriptscriptstyle {I}}}.}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/2edab1fa684427f45f4cdcbd61de448bf2a70d84)
Dans ce même cas, on aura, pour la vîtesse des molécules appartenantes à l’onde transmise du verre dans l’air,
![{\displaystyle v''={\frac {2v'}{1+{\cfrac {1}{c}}}}={\frac {4cv}{(1+c)^{2}}}\,;}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/672d81602de938dd549a6adaa6c64dc9e1e238d4)
par conséquent, si l’on appelle
l’intensité de cette lumière transmise, et si on la compare à celle de la lumière incidente, on aura
![{\displaystyle \mathrm {I} ''={\frac {16c^{2}}{(1+c)^{4}}}\mathrm {I} \,;}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/827a1aad5bb7d5489f7af1e9e0628fdf501e9f86)
où l’on voit que, sous l’incidence perpendiculaire, il existe entre la lumière incidente et la lumière transmise à travers le verre, ou tout autre milieu à faces parallèles, le même rapport qu’entre les quantités de lumière réfléchie à la première et à la seconde surface de ce milieu. En prenant
on trouve
en sorte que, relativement au