nique céleste, que si l’on désigne par la partie de
qui est indépendante de l’angle l’inégalité lunaire en latitude, sera
étant la longitude de la lune, le rapport du moyen mouvement de ses noeuds à son moyen mouvement, sa parallaxe, l’obliquité de l’écliptique, et la masse de la terre, à très-peu-près égale à Suivant M. Burg, cette inégalité est, en secondes sexagésimales,
et la comparaison de quatre mille observations a conduit M. Burkhard au même résultat qui donne
Maintenant, il est facile de voir que si l’on nomme la partie de indépendante de l’angle on a
on a donc
Si l’on compare cette valeur de à la précédente conclue des expériences du pendule ; on voit que est une quantité insensible ; ce qui indique que la masse de la mer est très-petite, et qu’ainsi elle a très-peu de profondeur. En effet, on a vu précédemment que les va-