■i8 THÉORIE DES EFFETS MECANIQUES
ce qui donne pour la nouvelle expression simplifiée de la perte de force vive à l’entrée de la roue,
. pu R’. O’. "
M {u : + //’-rpTjsin’ç.ii — 2// jp7sin<p-y sinc<. ?i’M,
ou, en posant pour abréger,
R’ O
^•’=^7, sin(p=:6, Y=ïsina = c, M(m’+^’k — ihcii’).
D’après cela, l’équation du mouvement relatif dans l’intérieur de la roue, en ayant égard à l’action de la force centrifuge qui développe, par seconde, une quantité de travail mesurée par ~ M (c’" — t’""), sera
m^’ = ]Ik’ h- ]I {v — v^) + is^sl (^^— igWî — M {lû + Jfu — ihcu’),
ou, en divisant par M, remplaçant^ — j- par sa valeur trouvée ci-dessus, et se rappelant que h — /i’=H, lJ = j^u’,
u' = i> — V’" + zgH ~Ui+K)^, +1 ?’ — 2bc ic" De là on tire pour déterminer la vitesse u’, en posant de nouveau, afin d’abréger, le nombre
et, partant, pour calculer la vitesse et la dépense de liquide à la sortie du réservoir cylindrique de la turbine,
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