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§ IV.
Évaluation de l’erreur moyenne dont se trouve affectée la mesure d’un arc de parallèle, comme dans le cas de la détermination d’un arc de méridien.

10. Nous considérerons maintenant le réseau trigonométrique comme étant destiné à faire connaître le grandeur d’un arc de parallèle, et nous désignerons toujours par les inclinaisons des côtés consécutifs sur les méridiens des sommets ces inclinaisons étant comptées, si l’on veut, du nord à l’est, ou mieux, comme de coutume, du sud à l’ouest et depuis zéro jusqu’à D’une manière ou d’une autre les portions de l’arc mesuré, comprises entre les méridiens des points auront à fort peu près pour expression

etc.

et par suite on aura

ou généralement

D’un autre côté l’on sait que