pose l’arc de méridien. On doit reconnaître maintenant que toutes les fois qu’une ligne du sphéroïde terrestre donnera lieu à une équation différentielle telle que (9), la valeur de s précédente en exprimera l’erreur moyenne.
M. Damoiseau, qui a appliqué les formules de probabilité à la méridienne de France, sur l’invitation de l’auteur de ces formules, a trouvé que relativement à la partie de cette ligne mesurée par triangles, et comprise entre le signal de Busgarach près Perpignan, et Formentera, la fonction en prenant pour unité la base de Perpignan, savoir or, comme dans cet espace, il s’ensuit que
et qu’enfin
la probabilité qui répond à cette valeur étant
6. Les mêmes considérations analytiques conduisent sans difficulté à l’erreur moyenne probable du dernier azimut d’une chaîne de triangles, entre toutes celles qui peuvent avoir lieu : en nommant cette erreur moyenne on a
(11)
|
|
|
puisqu’en effet la fonction (8) a la forme
et que etc.
Si, au lieu de supposer aux angles les corrections on leur appliquait respecti-