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qu’au terme il est tout naturel de supposer

etc.

partant,

(6)

Telles sont en effet les corrections que Laplace a déduites de la théorie analytique des probabilités (2e Supplément, p. 18). Le raisonnement qui nous y a conduit n’a peut-être pas toute la rigueur désirable, mais il jouit du moins de l’avantage de n’exiger, pour être saisi, que les notions les plus simples du calcul. Si ce mode de correction eût été connu à l’époque où Delambre essaya de faire accorder entre elles les bases de Melun et de Perpignan, en altérant arbitrairement les angles des triangles de la méridienne d’une quantité extrêmement petite, à la vérité, ce célèbre astronome en aurait probablement fait usage. J’ai moi-même proposé à ce sujet une méthode de calcul directe et simple, dans le supplément à mon Traité de Géodésie, mais il resterait à en prouver rigoureusement la légitimité. Tout bien considéré, si la discordance des bases sortait sensiblement des limites dans lesquelles elle est ordinairement renfermée, les corrections précédentes devraient être exclusivement adoptées.

Nous n’avons attribué aucune erreur à la mesure directe des bases, parce que les procédés employés pour cette mesure sont maintenant si exacts qu’ils ne laissent aucune incertitude à cet égard. Delambre, en supposant une erreur due