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sont les suivantes : Le rapport du yard impérial au mètre français a été obtenu avec une grande précision par une comparaison immédiate de ces deux étalons ; le mètre vaut pouces anglais, et le yard On peut accorder une entière confiance à toutes les mesures linéaires de superficie et de volume qui seront déduites de ces deux nombres.

Quant à la valeur de l’once, grammes, que nous avons obtenue, en faisant par le calcul toutes les réductions convenables, et en adoptant les déterminations les plus précises sur la dilatation de l’eau et le poids de l’air, nous pensons que l’on peut la regarder comme exacte, à ou milligrammes près, et que l’on peut l’employer lorsqu’on n’aura pas besoin d’une plus grande précision, jusqu’à ce qu’on ait obtenu, par des pesées directes, exécutées avec des étalons authentiques, ce rapport du kilogramme à la livre troy.

Nous proposons à l’Académie d’accorder son approbation à un travail dans lequel M. Francœur a résolu avec adresse un problème intéressant. Si nous avons apporté quelques modifications à son résultat pour le poids de l’once troy, c’est principalement parce que nous avons employé pour la dilatation de l’eau une détermination qui nous paraît mériter plus de confiance que toute autre.

Rapport sur un modèle de train de voiture, présenté par M. Van-Hoorick.

M. Van-Hoorick, inspecteur général des haras, a présenté à l’Académie un modèle de train de voiture à quatre roues, destiné à prévenir, dans un grand nombre de cas, le versement