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DANS LES TUBES CAPILLAIRES.

vation ; on a d’ailleurs, comme dans le tableau précédent, c = 0,0085.

En procédant ainsi on obtiendra les trois valeurs suivantes :

b = 0m005536,
b = 0,005419,
b = 0,005405,

Ces trois valeurs de b comparées à celle déduite du tableau n° XX sont sensiblement identiques : ce qui doit avoir lieu en effet puisque le même tube ayant servi aux observations que présentent les deux tableaux, le frottement du mercure contre les parois de ce tube, c’est-à-dire la résistance qu’il a éprouvée à s’y mouvoir a été nécessairement la même.

Ajoutant ensemble les quatre coëfficiens b déduits des tableaux n° XX et n° XXI, et prenant leur valeur moyenne on la trouve = 0,005455.

Si l’on calcule le coëfficient b au moyen des observations du tableau n° XXII sur le tube n° 2, observations dans le cours desquelles les hauteurs de charge initiales et finales sont les mêmes que dans le tableau n° XXI et pour lesquelles on a d’ailleurs :

A = 0m076,
D = 0,001122,
l = 0,357,
c = 0,0095,

on trouve

b = 0,006080,
b = 0,007236,
b = 0,006374,

valeurs peu différentes entre elles, et dont la moyenne