nette et Joséphine, ces filles des champs, l’étaient à la façon de la nature.
Après bien du temps, à travers bien des flots, une de leurs chansons, l’âgé na du bas (l’oiseau noir du bois) me revenait dans les cyclones.
La voici, et voici la mienne, faite là-bas, au fond de la mer ; on y trouvera la même corde, la corde noire, qui vibre au fond de la nature.
La leur est plus mystérieuse et plus douce ; on y sent les roses de l’églantier des haies ; mais, d’une même haleine, l’oiseau du champ fauvé égrène ses notes mélancoliques et gronde le flot frappant les écueils.
Dans l’champ fanné c’etot |