Page:Mémoires de Cora Pearl, Ed. Levy, 1886.djvu/310

Cette page a été validée par deux contributeurs.


XXXVI

DON ALONZO ET LA PETITE HAVANAISE.


Le comte Alonzo habitait, je crois, Vincennes, vivant fort retiré, au milieu de la plus aimable ménagerie qu’on puisse imaginer : écureuils, chiens, oiseaux rares.

Un jour il se présente chez moi ; j’étais absente.

Ma femme de chambre, très jolie fille, lui demande ce qu’il désire.

— Mon Dieu, lui dit-il, d’un air très embarrassé, c’est bien simple.

— Quoi donc ?

— Oh ! c’est extrêmement simple ! — Mais