Page:Mémoires de Cora Pearl, Ed. Levy, 1886.djvu/228

Cette page a été validée par deux contributeurs.
225
DE CORA PEARL


« Pearl chérie,

» Pourquoi ne vœus-tu pas me recevoir, même comme ami ? Qu’ai-je donc fait pour t’inspiré tant de dégout ? Tu m’en vœus parce que je ne vœus pas te partager, mais tu ne sait donc pas combien j’aie d’amour pour toi et que je te vœus à moi seul ? Aussi je vais travaillé pour cela, et je t’aime tant que j’y arriverais et d’ici peut. Et tout ce que j’aurais sera pour toi, que tu veuille me voir oui ou non.

» A. de Burnel.. »


« Ma Pearl chérie,

» Je souffre horriblement, mais je ne puis te partagé : je te vœus à moi tout seul. Je sens que tu ne m’aime plus. J’ai un mortel chagrrin. Lorsque ta haine pour moi sera un peu apaisée, écris-moi : je serai toujours trop heureux, dans n’importe quel circonstance, d’aller passé un moment auprès de toi. J’attend une réponse de toi qui décidera de mon sord.