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XXI

APRÈS LA GUERRE. — EN ANGLETERRE CINQ SEMAINES AVEC LE DUC. — COUP DE TÊTE ET COUP DE COLLIER. — EN SUISSE : PROMENADE SUR LE LAC DE GENÈVE.


Ma liaison avec le duc Jean dura quelque temps encore après la guerre ! Il était très libéral, je dépensais beaucoup. Quand on me chassa de mon petit hôtel de la rue des Bassins, je devais deux cent mille francs.

Les événements l’avaient péniblement affecté.

Il se trouvait alors, il m’écrivait souvent, me donnait les plus affectueux conseils, et bien que très abattu lui-même, relevait mon courage :