Le zouave, très secoué, avait, comme on dit, quelque part, la sputation fréquente. Il me rappelait les malheurs arrivés à un aimable gentilhomme, lors de certain bal, donné dans un camp ; et j’en fis en riant l’observation.
— Ah ! oui ! dit de Rouvray, en répétant le propos tenu dans cette circonstance par le cadet du héros de l’aventure : « Ce n’est rien, c’est mon frère, le duc de Bellano qui… dé… goise !… »
Ce souvenir nous mit en belle humeur. Nous rencontrâmes — c’était inévitable — un grand nombre de connaissances. En entrant au Bois les chevaux prirent le pas.
Le zouave se mit à chanter, — Dieu sait comme !
— C’est trop fort ! dit de Rouvray.
— Il pourrait en effet le prendre plus bas, dit Girard.
De Rouvray mit la tête à la portière et prie le cocher d’imposer silence à son compagnon.
On descendit à la cascade pour prendre un rafraîchissement. Girard, toujours plein de