Page:Mémoires de Charlotte Robespierre sur ses deux frères.djvu/36

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Rotespictre.: Enfi; Me ifrappa a In. porte dt vitoyen Mathon. Cette porte-la s’ouvrit 5: elle furt recue‘atec tous les égards. qui ‘étaient dus a tant d’inforkanes. ‘Le ditoyen Mathon avait été fami des deux Rabespierres ‘il fut:hevreux de pouvoir tecieillir leur soeur;. déslors cite f aur Pabjet de toutes sesisollicitudes, 6 6. ey

_ Mademoiselle Mathon , "qa vine Chatlotte Ro- -

-hespicire cémme si mere, et qa? jusquiae der’. ;

hier soupir de cette‘fenime in fortuti¢e' rie ‘Cessa ‘de dé tui prodiguer-Jes soins’ les ptus'tdndres: et: Ids plus empressés', n'avait que’ six ans lorsqirelt be réfugia chez son ‘péref Blévée soiis ‘Tes’ yeux de Charlotte. Rubespierre , ‘madeinoisgl¥e Mathon ‘sé fit une douce' ‘habitudede la ‘voits'de entendre , de Vaimer, et lui voua bienitat toute Sdn ‘existencl. Aprés la mort deson’pére qui ‘succofiba cit’ 1827, elle eontinus a ‘vivre avec ete.” A faut lés avuir wuts toutes les dex’ ‘davis léur intérieny pout si she woir'a qiiel point elfes § ‘ditnaient. ' - Que’ dirai=je’ ‘su? Ta tie de‘ Chatotte setae pierre? rieni. Cette’ Vid! tranquille et obsttire s'éh coulz'comme'iun fleuvé silénctenx et “ignot'é : ‘qui

_ traverse de" proféndés ‘solitudes ,' ét Va ihéler seb

eaux a celles de 1 Océan : sans avoir baigne aucune rive, habitée. Quon, se représente. pe fleur: au

miliey des déserta, quis Spamonit, exhale, ue doua

- hy,