Page:Mémoires de Charlotte Robespierre sur ses deux frères.djvu/35

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pouvait. comprendre: quil y edt des gens qui se fissent un plaisir d du malheur d’autrui; et poyriant, © personne ep, avait fait. :wne plus, cruelle expé- riencequ ’elle-iniéme. Les tur bulentes agitations de la politique: Loussent : ‘fait fuir aux extrémités de ‘da tetre , sk Fardente, lendresse qui l’anissait a ses fir’ éres ne Teun rete nue dans sa, patrie. Passioagée pour.la vie privée, elle-ne put jamais se, résoudre a en sortir et se, garda jtoujours, bien, a’iaaiter ces femmes, qui, oubliant le. rdle qui convient a ‘leur sexei, ££ Janeent, follement et ridiculement dans une, cartiére qui n’est- point faite pour elles. - Aussi ne joua-t t-elle aucun réle dans lés cvéne- ments extraordinaires qui signalérent l’époque ou son, frére ;aing fut aa pouvoir. Upe madame Roland , 5 ou telle autre femme-homme d’Etat, vous écrirg des i in- foligs sur ce,quelie a vu ; sur ce qu’eHe & foit 5 mais: Charlofte, Robespierre ne soccype de politiqu: qu "autant qu'il: Ju} est ‘né- | scessajre pour suiyre des yeux ses freres dans larene ou ils Iyptent cqtps acorps avec te crime. . - Arrétée, aprés le 9 thermidor , elle fat randue 4 Ja liberté.ap, bout de qu)nze jours 5 cove: on de veria.dans ses Mémoires. Elle ebercha:un -ré- fuge chez. plusieuts de.ses ansies. qui la repoussé- fent.,.en prenant pour ‘exeuse Leff: ayante prot §ripkion. qui .pesait sue,.tout-ey qui! teuchait