Page:Mémoires de Charlotte Robespierre sur ses deux frères.djvu/23

Cette page n’a pas encore été corrigée

et exercérent, lantorité en “vor itgbles alyepotes ,. tle Bavaient pas cetteexcuse. comme les.M ontagnards, puisque la, France alore ni "était.pas en. danger comme.elle le fut dangle courant. de l'anute 93. Etqui donc, g grand Dieu! uurait sauveé laFrancg, si.Jes Montagnards n’avaisnt pris en mainle pouy- voir? LesGir ondins trahissaient, étail-ce lesGirone ding -qui_ pouvaient la sauyer ? Ils tramaient ees complots, contre révolutionnaires etait-ce entré leurs mains gavil fallait remettre les destinces de la révolution ? Lay journce du 31 mai avait. Erappé , -- Ja Gironde au coeur, comme celle dy 10, aout avait enéanti la ni onarchie; le peuple avait pro- noncé <s0n arrét était i#pévocable. _Autreabjection : la Convention nationale avait _ pour mission de doter la Fr rance a’ une constitution républieaine ; cette tache. une fois Femplic , elle ~ devajt, se séparer’. . . Il faut convenir que les enneiis de la Montagne _ n’ont pas une bien grande richesse d) imagination; ay, | lieu, de nous opposer des objections nouvelles , ‘ils vent cherchant dans -la poussiére du Forum quelque vieux Tambeau de ces arguments tant de ~ fois rebattus par les contre-révolutionnaires de 93, parles agentsde Pitt etde I’é smigration, Oui, _ yoila.précisément.ce que ¢ disaient ies ennemis les plus, jmplacables-de Ia réyolijlion ,en affectant | hypocritement de vouloir Ja république ; 5 donnez