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— 14 — Montognatds, ‘st Tes Girondins dtisserit tribmphe’ ‘Avant le 31-imiat its -avatent’ wssez ouvertement shanifesté leurs ‘pidjets dé Ven getitice et dé tivity _ etapres cette journée cdiébre ;' t’ont-ils pas r#- _ surgé une partie des départemehs deYOuest’et du

Midi contre la tridjorité moh tagnatde? Si vingts

deux Gironditis ont peti dur I'échafaud , dest

_ quils avalent conspiré contre fa liberté et fe bien? |

étre du peuple, set que leur’ conspitation, apres avoir fonigtemps. été conduité datis Yombre, avait

enfin ‘éclaté au’ grand jour’, et ensarighinté dnd |

moitié de la Fira’ ance, : Je imattends & tine objection: ‘de ‘quel’ droit, ire diront les partisans de la Girondé, les Moiiti-

gnards s’emparérent-ils de Ta’ tectoutablé’ omni-

potence dont ils uséreat pout ‘frapper les Giron ditis? Oui les avait réndus dépositaites dé ta haohd dictatoriale? et a quel titre exergaienteils un ‘pou voir sans litnites? |”

' Sé pourrais réiosqaer cet argimient, et did: d quel Ui trelesGirondinserercérent- ilseux-mhétnred uit pouvoir non moins sétendu depuis 't li chiite dd Louis

. XVI; jusqu’a a lear’ propre chute + Mats jé fe vein’

pas incl treen avant cette objection. Jete Véax inivd: qtier que'Té saliit ‘publi¢, aghivea vate Th vsti fds

Montagiiardé de la dictatuée sét'certes,, quiintd fds

Gi rondins's se réndiredt tha ite a gulrdndenete rr | Ek Qe

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