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nité et Phoninie; soit quiils fussent riches , puis que Robespierre peitsait que P'impot devait peser de préférence sur la richesse , par un systéme progres- sif sagement ordonneé ; soit enfin quils appartins- sent de prés ou de loin a une des trois aristocraties que je viens de: nommer, ouqu "ils fussent seulement corrompus, égoistes, cupides , ; puisqué Robespierre croyaitqu ‘il n’y avait de gomvennement juste et lé- gitime que celui qui était appuyé sur la vertu, la morale etle désintéressement; les ennemis deRobes- pierre, dis-je ; nel’ ont représent td que. sous Y un ‘des deux aspects que j'ai i indiqué plus haut : ilsne I ont moniré aux contemporains et a la postérité que comme homme révolu tionnaire ; : ils ont longue- ment et arlificieusement ényméré ses aetes com- me tel ; 3 ils les ont enflés » exagérés, ef, en. méme temps, ils ont pris,un spin extréme,de dérober ses intentions 4 la connaissance ‘de sesqancitoyens , ou; sils n’ont.pu jes déguiser entiérement ils les ont défigurées , dénaturées , .ils ,Jes.ont rendues exécralea de:pures-ét, louables qwelles étaient. La. postérité serait-elle disposée 4 ajouter: foi au jugement que:les:catholiques auraient porsé des protestans uprée les avoir tgus‘amassacrés.dans 1a nuit'de la: Saént. Barthélemy ?: ‘Sapposea denc que tout le parti. protéstant:a peri dans’ cette ‘bouche- srie exécutée le: crucifit'4 la-inain.; supposed que
7 “Jes seuls historiens catholiques en ont transmis
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