Après un pareil service, nous serions si heureuses de cultiver votre connaissance… De pauvres femmes ont besoin d’appui… de protection !
La tante est pien empêtante !
Si vous vouliez accepter… ce soir… un petit souper de famille… (A Nicole.) C’est une politesse qu’on ne peut se dispenser…
Sans doute.
C’être avec pien peaucoup du blaisir !… mais ch’ai bas de bermission tix hères… et c’hai bas enfie qu’on me mette tetans !…. (Regardant tendrement Nicole.) C’hy suis déchà assez… tetans !
Quels yeux… il me fait… (Allant à lui.) Comment donc… une permission ?… Mais, on connaît votre colonel… et l’on pourrait peut-être s’employer…
Oh ! la tante !… Il est trop empêtante !… (Haut, se retournant tout d’une pièce.) Mestames… Ch’ai pien l’honneur… (Il sort à droite, avec un salut militaire.)
Comment !… quoi !…
Scène IX
Superbe cavalier !