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sn onrnts. y xxx. cusescios. J’sl voulu aussi tenter ta puissance, divin Chabacios, et je l'ai éprouvée. Tu nous ralraiohis dans les maladies ou la ilsmme nous dévore, et tu nous sers de remède si nous sommes piqués par un scorpion. Fils de Latone , le hé— ros , tlls de Péan , m’s dit que toutes oes choses lui avaient été longuement développées. Apollon, irrité contre ma sœur Cassandre, lui ordonna, à elle qui savait l’avenir , ` de l’snnoneer aux Troyens qui Pécouteraient. Moi j’ai juré par un grand serment de ne jamais dire une parole fausse aux hommes. Tout ce que je t’ai raconté est done vrai: tu peux avoir conilanoe en mes paroles. i , . . . . i ·· C est sms: que psrla le tils chéri du divin Prism , ren- dant gràce à l'esolave intrépide d'Hereule. Ces doux en- tretiens nous adoucirent les fatigues de la route pendant que nous mbntions su sommet verdoyant de la montagne. •0• _ ` I FBAGMENTS LYBIQUES ‘. u. ll n’y a qu’un seul pouvoir, qu’une seule Divinité, le vaste Ciel qui nous entoure de ses feux! lui seul a tout créé. En lui roule la création`, le fou , l'eau et la terre. - · u. } Dieu fait toujours naitre une douleur des félicités hu- } maines. Ce sont les horreurs de la guerre et les larmes qu’e|les font couler. ` in. » De sa main droite ll (Dieu) touche de toutes parts aux extrémités de l'océan, et la terre roule sous ses pieds. • Ces tvsgmsnls sont tirés des Itmnalsn ds saint Clément d’s\«s•¤•Irls; , I mais ils portent un tel caractere de doctrine chrétienne, que le leeseur i doll les eonsldércr comme une preuve de plus que l'ècole d‘Alexsndrie u's pas été étrangère I la rédaction des œuvres d’0rphé0· A