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EXTRAITS. `66'I . L. sun un un: susnr. ' De Kiearque. Quelqu’un vint demander à Olympicus s'il arriverait à Rhodes,'et comment il devait faire pour naviguer avec sûreté. Le devin lui répondit : « D’abord prends un na- vire neuf; ne t’embarque pas en hiver, mais en été; fais dela sorte, et tu arriveras ici et là , à moins cepen- dant que des piraœs ne te prennent sur mer. » _ · m. sun ma nam: sumr. D’un inconnu. 1 Le paysan Calligène, avant d’ensemencer sa terre , vint demander à l’astrologue Aristophane si sa moisson serait abondante ct s’il recueillerait de beaux épis: celui- ci, prenant de petits cailloux, les met sur la table, et les supputant avec ses doigts, dit à Calligène : « Si le champ est arrosé autant qu’il faudra, s’il n’engendre pas des herbes inutiles , si la gelée ne brise pas tes sillons et que la grêle ne vienne pas abattre la tète de tes épis naissants, si les hannetons ne tondent pas tes moissons, si l’air ou la terre ne te réserve pas— quelque autre caiamité, je te prédis un heureux été et des épis bien fournis : crains seulement les sauterelles. » rn. sun um: vnan.r.n rnnnn. De Lucilius. On dit, Nicylla, que tu teins tes cheveux achetés au marché. I A nui. sun Lus Gll.\IIlAlI\lENS._ De Lucilius. Nul grammairien ne peut conserver un esprit un peu droit; la fureur, la colère et la bile s'emparent de suite de lui. 47.