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masser tsr nlté permanente z mais cette divlsien, qui as resine que î dans l'intelligence, conserve encore indivisible ce qui est diviœ. LB Fils resiëe sans le Pere, et dirige es qui est du Père, repsnaant sur le monde les nets de cette vle blen= heureuse, puisse à la seurce meme; verbe que je eéléhre ainsi que le Pere éternel; tu as reçu le jour dé la pensée ineffable du Père; tu es le Verbe conçu par le Père; tu es le premier qtfengendra ld première racine; tu es la se- mence dé toutes les choses créées depuis ta glorieuse naissance; tu as été semé par l’ineil`able unité, la semence universelle, tei semence meme de teutes cheses s ear tu es en toutes cheses. . ` Tu distribues à la nature supreme, meyenhe et inté- rieure; les dons précieux de Dieu le père, le trésor d’une vie féconde. (Vest pour tei que les sphères qui ne vielle ~lissent jamais roulent leurs infatigables évolutions; Tu . dlriges les sept astres, qui, sous ton impulsinn, font gra- viter leurs globes immenses dans un maniement cen- traire. Ta main a décoré le monde des étoiles sans nombre. 0 Fils glorieux! à travers les régions célestes tu niedères la course des siècles; tout-puissant, tu dennes des lois aux chœurs étincelants des astres qui roulent dans les vastes plaines éthéréés; tu distribues la vieet tu impeses une œuvre aux habitants des cieux, à ceux de Pdir, a ceux de la terre; tu dispenseshntelllgence aux etres divins et aux etres mortels qui ont été imprégnés de la rusée de Pintelligence; tu donnes Fame aus êtres que l’ame anime d'une vie, d’utle nature infatigable. A ta chaine sont suspendues les aveugles créatures qui 'n’ont pas wame, celles qui, dépourvues dïntelligehee, ase pirent dans ton sein une ferce conservatrice, ieree l'é=- conde, émanèe du sein mystéüeui du Père, la inysté— _ rieuse menade. De là séchsppe in ruisseau de vie que ta puissance fait s’épandre sur la terre à travers les masses mystérieux des intelligences : c’est ainsi que le monde visible, reilet du . ' ‘